«Ça fait quelques années que nous utilisons des agents de lutte biologique contre les pucerons, mais il y avait encore des difficultés», explique Theo van Montfort de Hill & Moer. Dans les serres où deux variétés de myrtilles (Duke et Nui) sont cultivées, nous utilisons le moins possible de produits chimiques. Cela signifie qu’une alternative fiable devait être trouvée. La protection des cultures par les insectes auxiliaires donne la possibilité de réduire le nombre des traitements tout en gardant les divers ravageurs sous contrôle. Après avoir essayé différentes stratégies depuis plusieurs années, Theo van Montfort peut enfin dire : «Depuis que j’utilise BerryProtect dans mes serres et que j’applique une stratégie préventive (lâcher des parasitoïdes avant l’apparition des premiers pucerons), j’ai trouvé une très bonne alternative aux traitements chimiques contre les pucerons ». Ce mélange de cinq espèces de parasitoïdes contrôle les pucerons les plus couramment rencontrés dans les myrtilles, ce qui, pour les producteurs, facilite grandement la protection biologique des cultures.